vendredi 20 janvier 2012

Nice: Mgr Nestor, évêque de Chersonèse, célèbre la fête de la Théophanie à la cathédrale Saint Nicolas


Le 19 janvier, fête de la Théophanie, baptême de Notre Seigneur Jésus-Christ, Monseigneur Nestor, évêque de Chersonèse, s’est rendu pour la première fois ès qualités à la cathédrale saint Nicolas, Nice. Il y a un mois la propriété de la cathédrale a été transmise par la Fédération de Russie au diocèse de Chersonèse, Eglise orthodoxe russe, patriarcat de Moscou, à titre gracieux et permanent.

Mgr Nestor a célébré la divine liturgie a procédé à la grande bénédiction des eaux. Il convient de souligner que c’était la première fois depuis le début du XX siècle qu’un évêque appartenant à l’Eglise orthodoxe russe, patriarcat de Moscou, présidait une liturgie dans cette belle cathédrale. Ont concélébré avec son Son Excellence l’archiprêtre Nicolas, recteur de la cathédrale, le protodiacre Alexis Sobolev, le diacre Maxime Politov, les lecteurs Nicolas et Philippe Markov. La chorale était dirigée par A. Fissotchenko qui est depuis très longtemps le chef de la chorale de la cathédrale.

On voyait parmi les fidèles, au nombre de deux cent et quelque, de nombreux visiteurs venus de Genève, de Paris, de Monaco, de toute la Côte d’Azur. L’un des adjoints du maire de Nice a assisté à la liturgie.

Mgr Nestor a prononcé une homélie dans laquelle il a exprimé le souhait de voir se constituer à Saint Nicolas une communauté orthodoxe forte et soudée. L’archiprêtre Nicolas Ozoline a exprimé sa gratitude ainsi que celle des paroissiens à Mgr Nestor.
Mgr Nestor et ses concélébrants ont procédé au rite de la grande bénédiction des eaux puis ils ont fait en procession le tour de cathédrale qu’ils ont bénie.
Les cloches de la cathédrale ont sonné à plusieurs reprises!

Une agape fraternelle a été offerte par le recteur à l’ensemble du clergé et des fidèles.

Rédigé par Parlons d'orthodoxie le 20 Janvier 2012

mercredi 18 janvier 2012

Nice: Eglise russe « Une nouvelle page d’Histoire »

Propos recueillis par Philippe Fiammetti
Nice Matin, le 13 janvier

Le père Nicolas Ozoline, nouveau recteur de la cathédrale, évoque le devenir de cet édifice, sa prochaine restauration, son rôle spirituel et culturel…

Après une bataille judiciaire de près de sept ans, la cathédrale russe est revenue dans le giron du patriarcat de Moscou. C’est en décembre dernier que l’ACOR, l’association cultuelle niçoise gestionnaire des lieux depuis plus de 80 ans, a remis les clés au nouveau recteur, le père Nicolas Ozoline. Dans l’interview qu’il nous a accordée, ce dernier évoque le devenir de cet édifice orthodoxe considéré comme l’un des plus exceptionnels hors de Russie.

Et maintenant ?

p. N. Ozoline: Une page est aujourd’hui tournée. Une nouvelle va s’écrire. Je veux rendre un hommage particulier au père Jean Gueit (ndlr : l’ancien recteur de la cathédrale qui, avec l’ACOR, s’était opposé à la Russie), pour avoir grandement contribué sur le plan à la fois spirituel et pastoral, pour que ce conflit, né de l’histoire tragique russe du XX siècle, s’achève dans la dignité.

Même si l’ACOR s’est pourvue en cassation contre la décision de la justice française attribuant la propriété de l’église à la Fédération de Russie.

A quels changements s’attendre dans le fonctionnement de cet édifice et la célébration des offices ?

Rien ne change dans le fait qu’il y a toujours deux églises de tradition russe à Nice, la nôtre sur le bd Tzarevitch et celle de la rue Longchamp appartenant à l’ACOR. Si les rites demeurent identiques, nous allons pour notre part renouer avec le slavon d’église (la langue créée par les saints Cyrille et Méthode, apôtres des slave) qui avait été remplacé par le russe contemporain. Mais il y aura toujours une lectures des Evangiles en français, dans le respect de la tradition instaurée dès la consécration de cette Cathédrale en 1912.

Vous évoquez la tradition orthodoxe. Père Nicolas, êtes-vous marié ?

Dans notre tradition, il y a un clergé marié et un autre non marié que sont les moines. Je suis moi-même marié à Alexandra et nous avons une fille âgée de 15 ans, Antonine, actuellement en Russie où elle achève sa scolarité.

Quels sont vos liens avec le patriarcat de Moscou ?

Nous sommes sous l’obédience de notre évêque, Mgr Nestor, qui siège à Paris. Lui-même étant le représentant de l’Eglise orthodoxe russe en France, donc du patriarcat de Moscou. Vis-à-vis de notre patriarche Cyrille, nous sommes dans la même position que le clergé catholique de France par rapport au pape.

On assiste à une présence grandissante de l’Eglise russe en Europe occidentale. Comment l’expliquez-vous ?

Il y a d’abord le formidable renouveau de la foi dans notre mère patrie, laquelle est redevenue une grande nation chrétienne. Depuis la chute du communisme, nos concitoyens ont la liberté de voyager et beaucoup s’établissent hors de Russie, notamment sur la Côte d’Azur. Il faut répondre aux attentes spirituelles de ces fidèles, c’est l’une de nos missions majeures.

Depuis quelques mois les manifestations se succèdent en Russie. Le pouvoir semble contesté. Quelle est la position de l’Eglise russe concernant ces évènements ?

Notre Eglise a très souvent été soupçonnée d’être assujettie au pouvoir temporel. Je crois qu’il s’agit d’un amalgame malheureux. Depuis maintenant 20 ans, l’Etat participe matériellement au renouveau spirituel du pays, en restituant le patrimoine religieux, en contribuant à la restauration de centaines d’églises et de monastères. Il rachète aujourd’hui les crimes commis par le communisme. Je ne souhaite à aucune population dans le monde subir une épreuve aussi terrible que celle traversée au XX siècle par les peuples de Russie.

Mais l’Eglise a-t-elle retrouvé toute sa liberté de parole ?

Je vous invite à relire la dernière intervention de Sa Sainteté le patriarche Cyrille lors du Noël russe du 7 janvier. Ses positions ont été claires. Il a pris fait et cause pour plus de transparence et d’honnêteté et a souligné qu’à travers ces manifestations de rue, le peuple russe montrait sa soif de la justice sociale. Voilà une démonstration sans ambiguïté de la liberté de parole de notre Eglise.

Quel devenir pour la cathédrale russe de Nice ?

Ce sera plus que jamais un centre religieux majeur pour le monde orthodoxe. Mais nous en ferons aussi un centre culturel russe avec des conférences, des concerts, etc. Ce lieu deviendra fédérateur pour toute la communauté russe de la Côte d’Azur. Le dialogue interreligieux y aura également sa place au travers de rencontres avec les autres confessions.

La Russie a promis d’importants travaux de restauration. Quand débuteront-ils ?

Dans le courant de cette année, pour fêter dignement le centenaire de la consécration de la cathédrale en décembre prochain. Ces dernières semaines, des équipes de spécialistes sont venues de Russie pour faire l’état des lieux et établir des devis. Le budget reste encore à définir. Le financement sera assuré par l’Etat russe et d’autres généreux donateurs.

Une date plus précise pour le démarrage ?

Sans doute au printemps. L’édifice étant classé, nous attendons le feu vert du service des Monuments Historiques et du ministère français de la Culture. Ces travaux se feront par tranches et s’étaleront sur quelques années.

L’église est fermée au public depuis le mois de septembre. Quand sera-t-elle rouverte ?

Elle demeure fermée aux visites touristiques en raison des expertises en cours et des travaux à venir. Sa réouverture aura probablement lieu pour le 17 décembre 2012, la date anniversaire de la consécration en 1912. C’est en tout cas un vœu. Tout dépendra de l’avancement des travaux.
Je demande aux Niçois de faire preuve de patience. Le but étant qu’à terme, la cathédrale resplendisse de sa gloire d’antan, qu’elle soit source de joie et de fierté pour les Niçois, auxquels je présente mes vœux.

dimanche 8 janvier 2012

NICE: Les Russes raniment la flamme et la foi de Noël. Monde, jeunesse et souffle de renouveau dans la cathédrale Saint-Nicolas


Nouvel archiprêtre et renouveau de la cathédrale Saint-Nicolas, au service de fidèles revenant vers l'Eglise.

Laurent Carré, "Nice Matin"

Monde, jeunesse et souffle de renouveau dans la cathédrale Saint-Nicolas

Hier c'était Noël. Noël russe. Noël illuminant deux messes célébrées, le matin, puis l'après-midi, en la cathédrale Saint-Nicolas du boulevard Tzaréwitch, par l'archiprêtre Nicolas Ozoline, nouveau recteur de cette église dépendant désormais du patriarcat de Moscou et du diocèse de Chersonese. Premiers rassemblements d'importance après les tribulations juridico-administratives autour de l'appartenance de l'édifice cultuel.
Deux heures de prière, de chants, de lecture, d'homélie. Deux heures de paix dans une cathédrale fleurie et bondée. Beaucoup de jeunes, beaucoup d'enfants. Tous debout. Attendant patiemment pour se confesser. Allumant des cierges filiformes. S'embrassant. Se délivrant, à voix basse, des messages de lumière. « Les choses se sont normalisées et l'Église a repris sa place, ses origines,- explique Oleg Ionnikoff. Le sentiment de devoir aller à la messe pour les fêtes de Noël est très fort. Les Russes reviennent vers l'Église grâce à la reprise de la liberté de culte. » Une liberté dans un site où les choses sont claires, à présent.

« Qu'un seul Dieu »

Comment le ressentent les fidèles ? « Cela dépend, - répond Jean Kourdukoff. Il y a eu, dans cette aventure, des fidèles actifs, dont j'ai été, et d'autres qui n'ont rien fait et qui viennent aujourd'hui, tout simplement. Je me suis battu pour que justice soit rendue. À partir du moment, où la Russie a gagné son procès, cela me satisfait. Vous voyez l'affluence aujourd'hui. Le fait de changer de patriarcat n'a pas entamé la fidélité des croyants. Bien au contraire… »

Des croyants portant le bonheur sur leur visage. « Il y a une grande joie, une grande sérénité, sans la moindre animosité pour tout ce qui s'est passé, - confirme Vasilissa Fissot. C'était des histoires de… clochers ! Ce qui nous anime à présent, c'est l'espoir de renouveau et de continuité dans la vie de la communauté, en prenant en compte tout le monde. Les Russes présents à Nice depuis très longtemps, comme ceux qui viennent de s'y installer. » Et cette douce personne de conclure : « Après tout, il n'y a qu'un seul Dieu. »
Pour ce Dieu, les Russes se signent à l'envers des catholiques. Ils finissent par le cœur…

Nice Matin

Rédigé par Parlons d'orthodoxie le 8 Janvier 2012

Рождество

Всех читателей и посетителей поздравляю с Рождеством Христовым. Пусть благий свет сойдёт на Ваши семьи.
Иван Сергеевич

mercredi 4 janvier 2012

Un nouveau chapitre commence dans la vie de la cathédrale Saint Nicolas à Nice



L’archiprêtre Nicolas Ozoline , recteur de la cathédrale Saint Nicolas, s’est entretenu avec Anna Danilova, rédacteur en chef du site "Pravoslavie i mir"

Les clés de la cathédrale ont été remises le 16 décembre dernier aux représentants de la Fédération de Russie. C’était l’aboutissement d’un long et difficile procès en justice dont l’objectif était de restituer l’édifice à l’Eglise orthodoxe russe. Quelques mois auparavant les entrées payantes avaient été supprimées pour les visiteurs. D’importants travaux de ravalement vont bientôt commencer à Saint Nicolas.
L’archiprêtre Nicolas Ozoline a été nommé recteur de la cathédrale, il est le fils d’un enseignant bien connu de l’Institut de théologie Saint Serge, le père Nicolas Ozoline senior.

Le père Nicolas est né et a été formé à Paris mais c’est en Russie que se situe la période la plus active de sa vie. Au début des années 90 l’émigration russe en Europe occidentale s’est divisée en deux camps : les uns estimaient que, le régime soviétique étant tombé, le temps était venu de retourner en Russie et de s’y montrer utile en appliquant ses savoirs ; d’autres ont jugé qu’il n’y avait aucune raison de regagner le pays ou de réintégrer l’Eglise orthodoxe russe. Le père Nicolas appartenait au premier de ces deux groupes.







En 1992 il vient en Russie, en 1997 il y est ordonné prêtre et nommé à l’église Saint Nicolas dans l’île de Kiji (au Nord du pays). Cette paroisse tombait littéralement en ruines. Le recteur précédent avait souffert le martyr pour le Christ : il y a 60 ans, il avait été assassiné par les Soviets.

C’est de l’île de Kiji, en Carélie, que le père Nicolas est venu à Nice pour insuffler une vie nouvelle à la cathédrale Saint Nicolas.
Il peut paraître paradoxal qu’il fallait redonner vie à une belle cathédrale située au cœur de la Côte d’Azur. Or, les choses n’y étaient guère plus simples qu’en Carélie. Un nouveau recteur, les changements qui inévitablement se produisent alors dans la vie de la communauté et de la paroisse sont une période souvent douloureuse. Cela d’autant plus quand il s’agit d’une église devenue le foyer de la communauté russe de la région.

Anna Danilova: Père Nicolas, c’est il y a deux semaines que la cathédrale a été officiellement remise à l’Eglise orthodoxe russe…

père Nicolas Ozoline: Evènement qui nous remplit de joie. En effet, l’histoire de la cathédrale reflète l’histoire du XX siècle. Cette cathédrale symbolise l’amitié franco-russe et il ne s’agit en aucun cas d’une simple formule de courtoisie. Saint Nicolas est un signe de la présence russe sur la Côte d’Azur. La présence de la Russie a toujours et partout été pour ainsi dire couronnée par l’existence d’une cathédrale. Si l’on confère à un autre pays la possibilité de construire une église qui en relève cela est une manifestation suprême d’amitié et de confiance. Les murs de Saint Nicolas sont imprégnés d’histoire. C’est la cathédrale russe la plus grande d’Europe, sa beauté et ses dimensions produisent une impression inoubliable.
De tout cœur je tiens à exprimer ma gratitude à mon prédécesseur, le père Jean Gueit : nous avons pu ensemble, dans la paix et la dignité, ouvrir un chapitre nouveau dans la vie de la cathédrale. Démentant de nombreux pronostics nous avons réussi à trouver une conclusion heureuse à la difficile étape qui avait précédé.

A.D.: Ces derniers mois de nombreuses publications ont décrit l’état déplorable dans lequel se trouve la cathédrale qui demande des travaux de réfection considérables. Comment envisagez-vous ces travaux ?

p. Nicolas: Nous nous apprêtons à célébrer bientôt le centenaire de la sanctification de la cathédrale. Des travaux importants sont, en effet, indispensables car il n’y pas eu pendant tout un siècle de véritable ravalement de l’édifice. Les artisans de l’époque avaient construit une cathédrale appelée à durer mais le temps à fait son œuvre. Le climat de Nice est très favorable mais des travaux considérables, essentiellement d’ordre technique, sont devenus indispensables. La cathédrale Saint Nicolas avait été construite à la pointe du progrès : monolithe de ciment, déjà équipé du chauffage central. En 1912 un réseau téléphonique avait été installé qui permettait prêtre de communiquer avec le chef de la chorale ! Les bâtisseurs de cathédrale russes ont voulu que leur œuvre s’intègre au paysage urbain de Nice.

A.D.: Comment vont se dérouler les travaux ?

p.Nicolas: Nos experts attendent actuellement du Ministère de la culture français les conclusions de ses experts. Une préparation sérieuse est nécessaire. L’essentiel, et comment ne pas ne pas s’en réjouir, est que les travaux nécessiteront pas l’interruption des offices qui se poursuivront pendant le temps que prendra la réfection!

A.D.: Comment seront financés ces travaux ?

p.Nicolas: C’est la Fédération de Russie qui assumera dans son intégralité le coût de la restauration de Saint Nicolas.

A.D.: Père Nicolas, comment se déroule cette difficile période de transition ? On nous dit qu’il y a certaines choses qui ne réjouissent pas les paroissiens ?

p.Nicolas: En effet, pendant de longues années la vie de la communauté a été marquée par sa division entre ceux qui aspiraient à réintégrer l’Eglise russe et ceux qui tenaient à se maintenir sous l’omophore du patriarcat de Constantinople. Maintenant que la cathédrale a été restituée à l’Eglise orthodoxe russe cette hostilité s’est à nouveau manifestée. Les décisions que prend le recteur peuvent, dans ce contexte, être perçues comme un signe de soutien à l’un à l’autre de ces deux groupes. Il s’en suit qu’il ne faut en aucun cas attribuer des postes de responsabilité à des tenants de l’un ou de l’autre de ces groupes. La Fédération a déployé de grands efforts pour que la cathédrale soit restituée à l’Eglise orthodoxe russe. Ce n’est certainement pas pour que la paroisse devienne un club fermé.

Nous sommes heureux d’accueillir toutes les initiatives de bonne volonté. Monsieur Fissotchenko est depuis de longues années le chef de la chorale. Il est actuellement âgé de 82 ans. Une femme, chef de chorale qui a travaillé avec moi pendant dix ans est venue s’installer à Nice. Or, elle est actuellement simple chanteuse dans la chorale que dirige M. Fissotchenko. La deuxième auxiliaire venue à Nice excelle dans la confection des prosphores, elle s’occupe également de toutes les formalités qu’implique la vie de la cathédrale. Auparavant ces charges étaient assumées par des salariés de la cathédrale au nombre de huit. Actuellement ces travaux, très importants, sont effectués par deux personnes.

A.D.: Combien d’auxiliaires sont venus avec vous à Nice ?

p.Nicolas: Avec la bénédiction de Monseigneur Nestor, évêque de Chersonèse, deux auxiliaires m’ont accompagné. L’une d’entre elles a un fils âgé de neuf ans. Tous les paroissiens sont les bienvenus dans la vie de la cathédrale, il y a du travail pour tous. De nouvelles tâches vont surgir qu’il faudra accomplir. Nous avons d’importants projets en vue. Des agapes seront organisées les jours de fête, la communauté se réunira à la fin des offices, les paroissiens pourront faire connaissance. Bien recevoir les touristes qui viennent visiter la cathédrale, bien leur expliquer l’histoire du lieu sera pour nous une mission très importante.

Le travail qui m’incombe est considérable mais j’espère que la grâce Divine et que les prières de l’évêque Nestor me seront d’un grand soutien. Nous sollicitons vos prières !

Traduction "Parlons d'orthodoxie"

PRAVOSLAVIE i MIR

............................................
"PO"
Nice Matin: une interview avec le père Nicolas Ozoline. Photos récentes prises dans la cathédrale

Sur "Pravoslavie.ru" une interview avec l'archiprêtre Nicolas Ozoline, recteur de la cathédrale Saint Nicolas

Le père Nicolas Ozoline est nommé recteur de la cathédrale Saint Nicolas de Nice par le patriarcat de Moscou










Rédigé par Parlons d'orthodoxie le 4 Janvier 2012

Nice : Epilogue dans l'affaire de l'église russe

France 3 Par Yves LEBARATOUX

Cliquez ICI

La cathédrale Saint-Nicolas s'apprête à célébrer ce week-end le Noël Orthodoxe, avant les travaux de restauration La Fédération de Russie, reconnue officiellement propriétaire par la justice, a officiellement récupéré les clés de l'édifice géré auparavant par l'association cultuelle orthodoxe russe de Nice. La cathédrale Saint-Nicolas s'apprête à célébrer ce week-end le Noël Orthodoxe, puis de gros travaux de restauration seront ensuite réalisés. Une interview avec le père Nicolas Ozoline et M. Ikonnikov, descendant de la lignée Golitzine.